CRUGER:
Monde fermé d'esprit, qui m'inspire en despee quelque
mesure/
facile de coller une étiquette, ici arabe est associer a pickpocket/
sa me débecte, des préjugés simpliste trop de gens se délecte/
comme une gangrène qui s'infecte, qui progresse au fur et a mesure/
et sa engraine, généré trop de haine, cette sale graine germe/
et prolifère, frappe comme une barre de fer, fier trop s'enferme/
dans des idées préconçus je pense qu'il es temps de prendre conscience/
qu'un juif n'es pas automatiquement riche et près de sa thune/
qu’un type a lunette n'est pas obligatoirement un fou de science /
qu'une blonde n'est pas moins intelligente qu'une brune/
faut élargir ta vision des chose lâche tes oeillères/
un curée ne viole pas un gosse après chaque prière/
que celui qui ne la jamais pensé me jette la première pierre/
aucune critique sans preuve a présent je ne tolère/
un italiens qui porte un costard n'est pas un mafieux/
au même titre qu'un musulman n'est pas fanatique religieux/
et quand tu me mate je vois bien que tu dis " il est blanc"/
"il vient pas du 9.3 pourtant y dis avoir le peura dans le sang"/
stop ton image du rappeur qui porte un flingue et brûle des caisse/
moi je mate le mondes les yeux ouvert même si je viens pas d'une "tess"/
AMSTERDAM'S:
Monde fermé d'esprit, j'expire plus depuis qu'ils perdure dans leurs délires/
Monde formé de pourri, je crains le pire, ils sont si sur de tous détruire/
Difficile de décoller cette facette, d'un noir immigré, forcément sans papier/
Facile de parler, quand votre quête et de croire la télé, vous faites pitié/
Pour certains on es si différent, même en étant blanc, on endure des jugements/
Ca craint, les gens ne vont plus de l'avant, ils ne voit que par les vêtements/
Alors j'envoi un grand fuck à ceux qui téma de travers, eux qui comprennent tout à l'envers/
Envers et contre tous ils poussent à nous dire qu'on es tous des frères, mais allez niquer vos mères/
Si t'es sapé, casquette de côté, t'es représenté comme un mec raté, qui viens de cité/
Si t'as tapé ce mec côté, tu va le regretter, car sa priorité c'était de te sauté/
J'entends des échos qui disent qu'on est tous égaux, alors pourquoi nous mettes à dos ?/
J'étends mes mots et mon flow qui gise dans vos dos, pour vous couler au fond de l'eau/
Vous jugés d'un simple regard, mais prenez gardent car à force on s'égare du côté noir/
Vous nous obligés à croire encore à vos histoires alors que nous avons plus l'espoir/
On a le seum de votre putain de système, à tel point qu'on s'en ouvrent les veines/
On a la haine, les points qui souffrent et qui saignent, mais on va tous vous kenent/
On va se battre, vous abattrent, éteindre cette flamme qui se propage partout/
Vous finiraient à quatre pattes à repeindre les drames qui saccages nos trous/
Notre style est présent, notre rage est sanglante, on est prêt à défoncer des murs/
Notre stylo est stressant, notre page fulgurante, on tir un trait sur ces blessures/
voila le premier free de MenaceS
a vos notes